Sous le parasol

Tout ce jaune me réjouit. Comme ce petit gilet d'hiver qui m'attendait au fond de la boutique et que la myrtille portera au printemps. Comme le mimosa qui ne cesse d'illuminer le jardin et la maison. Comme cette jonquille sauvage. Comme le soleil franc qui est revenu ce matin accompagner les premiers chants d'oiseaux. Un prémice du printemps? Vivement!

Le mimosa est éclatant dehors. Il s'épanouit entre grosses pluies et soleil généreux. A l'intérieur, son odeur nous entête un peu mais sa couleur me ravit et illumine les enveloppes déjà dorées que nous préparons tranquillement.

  Je ne photographie que le ciel bleu et les jolis sols! Et pourtant, qu'est-ce qu'il a plu! 

Robe Marie, portée en taille 8 ans, 4cm de largeur en moins. Liberty Betsy Fluo Thé (Cousette). Cardigan Monoprix. C'est fou ce qu'une petite robe en Liberty réussit à  nous transporter au printemps même si nous ne sommes encore qu'à la toute fin janvier!

Le soleil du week-end m'a donné envie de coudre pour le printemps. Voici donc une petite Marie de Citronille retaillée, très réduite en largeur, raccourcie aussi, avec un simple élastique pour l'encolure, comme d'habitude. Et cousue dans ce magnifique Liberty Betsy Fluo Thé commandé chez Cousette. Et comme nous ne sommes pas du tout au printemps, un petit cardigan caramel viendra réchauffer le coton léger.

 Marseille, son soleil de janvier, son vent fort fort fort qu'on ne sent pas sur les photographies. Et sa lumière!

Voilà, je me suis laissé prendre au jeu d'Instagram. Pour le plaisir de saisir la lumière d'ici, et les petits bonheurs du quotidien!

Sessùn dévoile petit à petit sa collection printemps été et j'ai déjà un vrai coup de coeur pour ces magnifiques escarpins JAUNES! Vivement la suite!

A la brocante j'ai trouvé, un napperon vieilli à la dentelle délicate, et quatre assiettes pour compléter ma collection Ninette. Des trouvailles qui sentent bon le printemps, n'est-ce pas?

Pas mal de couleurs pour donner des vitamines au mois de janvier!

[Chemise, pull, bottines et sac Sessùn. Jean Reïko.]